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Empreinte

Code barre

Journaux - Afrique

Regards – identités

Manipulation – acier – marron

Gris – branché – connexion

Gravé sur du métal - tôle – texture

Traite la tôle – tesson de bouteille – encre

Ne pas blesser la tôle - Lui trouver une autre texture – silhouettes

Couleur - je ne cherche pas la couleur, - mais la lumière

Au lieu d'être un humain - un code

1 sur 25 millions - s'interroger sur le code que la société nous attribue

Le code barre

Une suggestion - Le journal

On communique – presse

La tôle – un médium – les origines de la terre

La suggestion - interroger la peinture - Travail sur les visages

Ghandidé des continents – vendre

Waka Waka - Un pas en avant - un pas en arrière

In-tellectualité ?

Visage – hypocrisie

Empreintes - Âmes

Rêves - quand l'exemple vient d'ailleurs
le langage

Appendices - la main – stop

La réflexion – le penseur – l'écriture

Beaucoup de codes – d'écritures

Les codes barres – personnaliser

Besoin

Montagne d'obstacles - dates

Représenter des personnes – rien d'unique

Un langage - Doser - Voir l'âme

Créer son univers - la trace - la quête

Fiction – attention – circuler

Rejoindre – subir

Tâches – doigts

Empreinte

Stéphanie Schneider

Déclinaisons
 

Je n'avais pas de mots, alors je suis allé puiser dans la matière, violemment.

Ça ne se donne pas. Ça ne vient pas.

J'ai connu la faim vous savez !

Je ne vais pas la laisser m'amadouer.

Je l'ai percée, transpercée, oppressée, saturée.

Comment, ta mère est déjà vieille ?

Elle n'est même pas polie.

À ce moment précis, je n'ai plus cherché à dire les choses,

je n'ai plus eu besoin d'emprunter les mots des autres, elle a parlé.

Mai Lam N
 

Foncé

Je suis le trait, je suis la trace.

Sur une planche de tôle, on m'annonce, on m'affiche, on me décore, on me gribouille, rature et me mène jusque l'incompréhensible...

Je porte du blanc, du gris, du noir et de l'argenté.

Je ne suis pas très heureuse. Je me sens enfermée et seule.

Les nombres me passent par la tête tels les détours de Dédale.

Je suis le trait, je suis la trace.

Théa-Elissa M.
 

Le chemin

Soudain un trou béant dans l’existence ; qui survient quand on s’y attend le moins.

Insidieux est ce chemin incertain !

A bien y réfléchir j’ai comme un doute. Non, plutôt une peur… de cette voie qui une fois empruntée,

n’admet pas de volte-face : l’âme s’y perd !

Un médium pourrait-il m’éclairer ?

Si je le pouvais, je reviendrais sur mes pas, suivrais mes empreintes vers les cases :

Éternelles sont les chaînes des enfers !

Hervé M